ARTISANAT ET INDUSTRIE

Jadis, l'artisanat des villages visait à satisfaire essentiellement les besoins immédiats de la population locale, dont ceux des exploitations paysannes.

A Langlade il y avait les tonneliers qui fournissaient les tonneaux et les cuves des viticulteurs, des bourreliers pour fabriquer ou réparer les harnais des animaux de trait, le maréchal ferrant, les exploitants des moulins à farine (deux moulins sur le Rhôny et un moulin à vent sur les hauts du village) et des moulins à huile. La mairie donnait en fermage le four à pain pour cuire les pâtes apportées par les ménages, cela n'empêchait pas qu'il y ait un boulanger. Le cordonnier était aussi un personnage incontournable.

Aujourd'hui l'artisanat déborde les besoins du village, parfois il prend des proportion industrielles. Citons trois menuiseries, quatre sociétés de plomberie et chauffage, cinq sociétés d'étude ou de services cinq commerces, etc...

Outre celle apportée par le commerce liée à la culture de la vigne, la richesse du village est de plus en plus subordonnée à l'installation de petite et moyennes entreprises.

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